Comme je ne portais pas mon attention à ce corps qui me portait, celui-ci s’est rappelé à moi dans le domaine des sensations. Pas à pas, au cours du temps, le chemin s’est déroulé lentement, avec ses temps d’attente, de flashs surprenants, de temps d’ignorance, de joies profondes.
« Ceux qui ne bougent pas, ne sentent pas leurs chaînes ».(*)
Les billets classés dans » Catégories », sur ce blog témoignent dans l’ordre chronologique de ce parcours d’abandon, à ce thérapeute intérieur qui nous protège et qui nous conduit, sur notre chemin d’individuation.
André-Luc Boxus
(*)Rosa Luxemburg